Carnet de route

TOUR DU THABOR

Le 13/09/2021 par Michel DE LA FOREST

Nous étions 9 au départ de Valmeinier ce 5 septembre : Marie-Hélène, Colette, Jean-Luc et Christine nos guides, Michel et Marie-Pierre, Eric et Marianne, et Michel le rédacteur de cette chronique

Au programme : Le Tour du Mont Thabor, sur 6 jours. Christine et Jean-Luc nous ont concocté un circuit sportif dans un magnifique écrin d’alpages, de pics et de cols, au milieu de lacs et de champs de myrtilles,  en compagnie de nombreux troupeaux de vaches et de moutons.

Nous avons transpiré pour monter au col des Marches,  des Sarrazins, de la Replanette, des Méandes, des Thures, du Grand Cros, au pic du Lac Blanc, de la Cula et bien sûr pendant l’ascension du sommet mythique du Mont Thabor que certains attendaient de gravir depuis des années.
Et quelle vue en haut du Thabor ! Toute la chaine des Alpes, dont les spécialistes Jean-Luc et Michel pouvaient nommer le moindre petit pic sous les nuages ; même pas besoin de PeakFinder !

Nous avons longé torrents ou rivières (Le  Roubion,  la Clarée…), aperçu de loin, ou longé, de nombreux lacs ( lac du Peyron, Chavillon, Laramon, du Serpent, des Gardioles, de la Cula, de la Clarée, du Grand Ban, lac rond...) ; retrouvé un peu de civilisation en traversant le village de Névache ;  visité des anciennes mines de fer sous le pic Sarrazin, et longé de magnifiques cheminées de fées, peu avant Névache.

Nous avons pu tester et comparer la convivialité et la qualité de la restauration  de 5 refuges : refuge des Marches, du Thabor, refuge I Ré Magi ( très bonnes, les antipasti ! mais pas le pain !), les refuges Ricou et des Drayères.
 Le point commun dans chaque refuge c’était, le soir,  l’inévitable partie de « six qui prend », avec le dilemme non résolu : faut-il se débarrasser rapidement des petites cartes ou des grosses ? ou préférer « le ventre mou » ?

L’organisation de cette semaine a été parfaite, jusqu’à la gestion de la pluie : alors qu’elle était annoncée pour les 2 derniers jours, Jean-Luc et Christine, avec je ne sais quelle baguette magique, ont fait en sorte qu’elle ne tombe qu’aussitôt arrivés au refuge et à la voiture.

Bravo et merci aux organisateurs

Michel.